Edmond Bordeaux-Szekely
découvrit au début du siècle dans les archives du Vatican des manuscrits traitant des idées et du mode de vie des Esséniens, qui vécurent il y a deux mille ans au Moyen-Orient et exercèrent une
profonde influence sur la genèse du christianisme. Il consacra sa vie à l’étude de l’enseignement essénien et de ses applications pratiques pour l’homme du vingtième siècle. Le sujet lui inspira
plusieurs dizaines d’ouvrages. Les Editions Soleil ont publié, en français, en 1979, «La Vie Biogénique», livre de synthèse, puis en 1984, pour faire connaître au public francophone la vie
étonnante de cet homme hors du commun, «L’Incorrigible Optimiste», un résumé de son autobiographie en trois tomes. Dans «The Origin of Christianity», qui n’est pas encore traduit en français,
Edmond Bordeaux- Szekely s’appuie sur des preuves historiques, archéologiques, philologiques et exégétiques pour montrer comment le christianisme se
développa. ...
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Les pasteurs ont souvent été considérés « comme des populations à part, des groupes isolés, qui du fait qu’ils sont nomades et se consacrent à l’élevage, sont fondamentalement différents des autres groupes sociaux. Ceci a eu tendance à conduire à des approches théoriques qui étudient le concept de la société pastorale par opposition à celui de la société non pastorale avec des principes d’organisation et de comportement différents. » (HILL et RANDALL, 1985 : 21-22). Cette approche a été favorisée par des jugements de valeur portés, en particulier en Afrique sudsaharienne, par des paysans et des citadins qui comprennent mal comment des hommes peuvent vivre dans un pays en y imprimant si peu leur marque : le passage du pasteur n’est signalé que par des vestiges dispersés et souvent éphémères, puits qu’il a creusés, trois pierres ou tranchée d’un foyer, piquets abandonnés délimitant l’ovale d’une tente ou déjections animales à l’intérieur d’un enclos en branches d’épineux. Cette zone sans empreinte humaine, sans repères, semble dangereuse à l’étranger : il risque de se perdre et de mourir de soif dans ces paysages monotones où les éleveurs nomades ont laissé si peu de traces qu’ils semblent plus s’être intégrés à la «brousse » que l’avoir domestiquée.
http://horizon.documentation.ird.fr/exl-doc/pleins_textes/pleins_textes_4/sci_hum/31595.pdf
Les Touareg peuplent le Sahara central,de Ghadamès, au nord, jusqu'aux marches du pays Mossi, au sudouest, et à la frontière de la Nigeria, au sud-est. L'énorme majorité se trouve sur le territoire de l'A.O.F.
Pour une population totale de trois à quatre cent mille âmes, quinze mille au maximum dépendent du Territoire algérien.
Or, combien de Français s'imaginent que les Touareg se bornent aux seuls habitants du Hoggar
http://www.troupesdemarine-ancredor.org/Archives/archives-Tropiques/Pages2012/Fichiers/Touareg.pdf